Skip to main content Accessibility help
×
  1. Home
  2. Browse subjects
  3. Classical Studies
  4. Classical languages
  5. Content listing

Refine search

Refine search

Access:
Content type:
Publication date:
Apply   From and To filters
Subject: Show more
Journals Show more
Publishers: Show more
Societies Show more
Series: Show more
Collections: Show more

Actions for selected content:

Select all | Deselect all
  • View selected items
  • Export citations
  • Download PDF (zip)
  • Save to Kindle
  • Save to Dropbox
  • Save to Google Drive

Save Search

You can save your searches here and later view and run them again in "My saved searches".

Please provide a title, maximum of 40 characters.
Cancel
×

3714 results in Classical languages

Page 123 of 186

  • CHAPITRE IV - Caractères linguistiques de la ϰοινή

  • Antoine Meillet
  • Book:
    Aperçu d'une histoire de la langue grecque
    Published online:
    05 October 2010
    Print publication:
    26 November 2009, pp 267-289
    First published in:
    1913

  • Summary

    L'attique qui était au début du Ve siècle un parler arriéré au point de vue du développement linguistique, avait déjà évolué au cours du Ve et du IVe siècles. L'adoption de l'attique par des populations telles que les Ioniens d'Asie, dont la langue était à plusieurs égards parvenue dès le VIe siècle à une période plus avancée de développement, a hâté l'évolution. L'emploi de cette même langue par toutes sortes de gens ayant des parlers helléniques divers ou dont la langue maternelle était une langue étrangère différente du grec a enfin contribué à effacer ce qui dans le grec d'Athènes était idiomatique, ce qui était difficile à acquérir pour qui n'était pas un natif. En devenant une langue commune, le grec, et en particulier le grec d'Athènes, devait donc perdre de son archaïsme, de ses traits caractéristiques. Par le fait qu'elle cessait d'être la langue d'une cité pour devenir celle d'une nation, ou plutôt d'un large groupe d'hommes ayant un même type de civilisation, la langue se transformait et, en se transformant, prenait un type plus banal. Pour autant que les données les laissent deviner, les changements se pressent en effet.

    — LE RYTHME

    Le grec ancien avait conservé le rythme quantitatif qui est l'une des particularités de l'indo-européen commun. Tout le rythme de la langue reposait sur des alternances de syllabes longues et de syllabes brèves: faire un vers consistait à répartir d'une manière définie des syllabes longues et brèves.

Page 123 of 186