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Dans le cadre de la sécurisation du circuit du médicament, une EPP a été réalisée pour mettre en évidence le nombre d’erreurs identifiées lors de la préparation des piluliers dans le cadre de la DJIN des patients hospitalisés en psychiatrie.
Matériels et méthode
Menée de janvier à décembre 2014, cette étude prospective a permis de recenser et de typer les erreurs identifiées lors de la préparation des piluliers. Quotidiennement et de manière aléatoire, 4 chariots sur 10 étaient entièrement contrôlés. Les 6 autres ne l’étaient que partiellement, à raison de 2 piluliers choisis au hasard par chariot. Les résultats obtenus correspondent au nombre d’erreurs rapporté au nombre d’ordonnances contrôlées, par service et par mois.
Résultats et discussion
En 2014, le pourcentage d’erreurs identifiées pour le service de psychiatrie est de 6,04 %, soit 1 erreur toutes les 26 lignes. Ce résultat est conforme aux données de la littérature (6–7 %)*, contrairement à celui obtenu pour l’ensemble de l’hôpital (7,78 %). En effet, le service de psychiatrie témoigne d’une certaine stabilité en raison d’une chronicité des pathologies traitées et d’une protocolisation des prises en charge. Les patients sont ainsi souvent suivis depuis longtemps et leur traitement ne change que ponctuellement. Cependant, malgré cette sécurité apparente, la vigilance de l’équipe soignante est essentielle : sur les 1300 ordonnances non contrôlées, 79 erreurs n’auraient donc pas été interceptées par la pharmacie, si le même pourcentage d’erreurs est appliqué.
Conclusion
Le double contrôle lors de la préparation des traitements est essentiel. Il permet d’intercepter les erreurs à la pharmacie, mais aussi dans le service clinique. À l’heure où l’exercice de l’infirmier est à la médicalisation, l’infirmier reste le dernier verrou avant le patient.
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